Paris : Concert « Naïssam Jalal & Rhythms of Resistance feat Mamani Keita & Osloob »

Le 23 février 2017

Évènements  •  Publié sur Souria Houria le 21 janvier 2017

jeudi 23 février à 20:30 – 23:00

Le studio de l’Ermitage rue de l’Ermitage, 75020 Paris

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On fêtera dans l’intimité du Studio de l’Ermitage la sortie de notre 2ème album “Almot Wala Almazala”.

Line-up
Invités : Mamani Keîta et Osloob
Naïssam JALAL (Fr, Syrie) : compositions, flûte, nay
Mehdi CHAÏB (Fr, Maroc) : saxs. ténor et soprano, percussions
Karsten HOCHAPFEL (Fr, Allemagne) : guitare, violoncelle
Zacharie ABRAHAM (Fr) : contrebasse
Arnaud DOLMEN (Fr) : batterie

Ouverture des portes : 20h30
Début du concert : 21h
Places ; 15 €/12€ ( hors frais de loc) disponibles en achat sur place le soir du concert dans la limite des disponibilités (Réservation fortement conseillée) – Petite restauration disponible sur place.

Infos utiles : http://www.studio-ermitage.com/agenda/date/naissam-jalal-et-rhythms-of-resistance

+ d’infos, du son, des vidéos sur :
www.naissamjalal.com
www.tournsol.net

« En 2011, Naïssam Jalal fonde le très cosmopolite ensemble ” Rhythms of Resistance “ avec quatre musiciens talentueux aux origines nationales différentes. Quelques années plus tard, le quintette a atteint une remarquable maturité, sachant (se) jouer de toutes les confrontations, de tous les télescopages. Une multiplicité d’apports et d’influx conjugue passionnément les influences, les registres, et fascine. Le sens du rythme, la plénitude de l’élan et des improvisations où se retissent les liens entre jazz et musique savante, musique européenne, musique orientale, sont l’occasion d’autant de traversées du miroir entre les champs esthétiques. »

« De Télérama aux Inrocks en passant par Jazz Mag, « Almot Wala Almazala », album sorti en novembre, a été encensé par la critique. La langue de Naïssam Jalal est unique, polyglotte, avec son vocabulaire savant tiré de la mémoire orientale, capable de sauter des gammes japonaises aux rythmes gnawas ou éthiopiens, de s’affranchir de la routine pour bâtir ses propres codes autour du jazz tout en distillant, par ci par là, un souffle de Debussy, des fragments de Satie. Les ruptures rythmiques, parfois stratosphériques, ne contrarient jamais la fluidité du tempo, soutenu par des musiciens du tonnerre (saxophone, guitare, contrebasse, violoncelle, batterie, percussions). Les mélodies entêtantes fertilisent le sol tantôt de sel, tantôt de miel, libérant de la rage et de l’espoir, agrégeant les courants et les cultures dans un même élan, humain. Une musique à la portée de toutes les âmes vivantes, de toutes les oreilles à l’écoute du monde. »
> Nathalie Van Praagh