16/05/2013 Paris : Débat » Rituel pour une Métamorphose » à l’IMA
L’IMA organise un cycle de soirées consacrées à l’auteur syrien, Saadallah WANNOUS *.
A l’occasion de l’entrée au répertoire de la Comédie-Française, pour la première fois, d’une pièce traduite de l’arabe, Rituel pour une métamorphose du dramaturge syrien Saadallah Wannous, un partenariat a été mis en place entre les deux institutions.
Parallèlement à la création au Théâtre-Français de cette pièce, dans une mise en scène de Sulayman Al-Bassam, l’Institut du monde arabe propose, en partenariat avec la Comédie-Française, Actes Sud-Papiers et l’INALCO, un cycle de trois soirées autour de la personnalité et de l’œuvre de Saadallah Wannous (les 16 avril, 16 mai et 13 juin prochains).
16 mai 2013
SALLE DU HAUT CONSEIL – 18h30
RITUEL POUR UNE MÉTAMORPHOSE
Débat autour de l’oeuvre théâtrale de Saadallah Wannous. À l’occasion de son entrée au répertoire de la Comédie-Française dans la mise en scène de Sulayman Al-Bassam.
En partenariat avec la Comédie-Française, les éditions Sindbad – Actes Sud et l’Inalco.
http://www.imarabe.org/jeudi-ima/rituel-pour-une-metamorphose
et écrivaine. Elle a entretenu une correspondance avec Saadallah Wannous. Son dernier récit, Presqu’île arabe est paru chez Robert Laffont, Sulayman Al-Bassam, metteur en scène de Rituel pour une métamorphose et auteur dramatique, né en 1972 au Koweït est l’une des figures importantes du théâtre contemporain arabe.
13 juin 2013
SaLLE DU HAUT CONSEIL – 18h30
LECTURES À PARTIR DE L’OEUVRE DE SAADALLAH WANNOUS
En partenariat avec la Comédie-Française, les éditions Sindbad – Actes Sud et l’Inalco.
http://www.imarabe.org/jeudi-ima/lectures-partir-de-l’oeuvre-de-saadallah-wannous
* Saadallah Wannous est né en 1941, en Syrie. Après des études de journalisme au Caire, il écrit pour les pages culturelles du journal Al-Baath en Syrie et As-Safir au Liban, tout en commençant une carrière d’auteur dramatique. À la fin des années 1960, étudie le théâtre à Paris. À son retour à Damas, profondément influencé par divers courants théâtraux européens, il milite en faveur d’un théâtre mêlant tradition et modernité, et participe à la création du premier festival de théâtre du monde arabe. Il fonde, à la fin des années 1970, l’Institut supérieur du théâtre de Syrie, ainsi qu’une revue, La Vie Théâtrale. Partisan d’un théâtre politique, en prise avec la société, ses pièces se veulent émancipatrices et explorent sans concession les liens entre l’individu et le pouvoir. Considéré comme l’un des plus grands hommes de théâtre de langue arabe, il meurt prématurément en 1997.