Syrie, l’horreur à huis clos – Deir ez Zor, champ de ruines

Article  •  Publié sur Souria Houria le 17 avril 2013

 

Syrie, l’horreur à huis-clos

Un enfant dans les ruines. Installée sur les rives de l’Euphrate, Deir Ezzor, ville de quelques centaines de milliers d’habitants, était autrefois le fleuron de l’industrie pétrolière syrienne. La ville est ciblée par les obus et roquettes depuis juin 2012. (Photo Khalil Ashawi. Reuters)
Le 4 avril. Ceux qui n’ont pas fui la ville limitent leurs déplacements dans les rues par crainte des bombardements. La ville est devenue fantôme. (Photo Khalil Ashawi. Reuters)
Un combattant de l’armée libre syrienne (l’ASL) le 6 avril dans l’un des tunnels qui servent à circuler à l’abri des snipers. Celui-ci fait 30 mètres de long. L’ASL dit contrôler la majeure partie de la ville. (Photo Khalil Ashawi. Reuters)
Un jeune vendeur de rue, le 5 avril. Le bazar principal, pilonné, est fermé depuis plusieurs mois, comme la plupart des commerces. (Photo Khalil Ashawi. Reuters)
Un combattant de l’armée libre syrienne embusqué, le 9 avril. (Photo Khalil Ashawi. Reuters)
Dans l’église Al-Wahda, détruite, selon l’Armée libre, par les forces de Bachar al-Assad. Les mosquées n’ont pas non plus été épargnées. (Photo Khalil Ashawi. Reuters)
Le 8 avril. La plupart des déplacements se font la nuit pour échapper aux tirs. (Photo Khalil Ashawi. Reuters)
Le 7 avril. Beaucoup de civils sont pris au piège dans la ville, qui manque de tout. (Photo Khalil Ashawi. Reuters)
Un combattant de l’armée libre à la sortie d’un tunnel, le 2 avril. (Photo Khalil Ashawi. Reuters)
Mi-mars, un combattant de l’Armée libre sur la tombe de son père, tué pas un bombardement du régime. Les parcs publics de la ville ont été reconvertis en cimetière. (Photo Khalil Ashawi. Reuters)
(Infographie Idé)

source : http://www.liberation.fr/monde/2013/04/13/syrie-deir-ezzor-champ-de-ruines_895742#s1

date : 13/04/2013